Selon le texte initial, les acheteurs publics devaient privilégier les autos dotées de pneus rechapés qui n'existent quasiment que pour les poids lourds !
L'Assemblée nationale a finalement modifié le texte, ajoutant que si les collectivités ne parviennent pas à s'équiper en pneus rechapés lors d'une "première consultation", "l'acheteur public n'est plus soumis à cette obligation".
A lire sur Argus.fr « Quand l'Etat veut acheter des pneus rechapés... qui n'existent pas »