Après un premier Spaser lancé en 2016, une seconde édition vient d’être adoptée par la métropole Nice Côte d’Azur, la Ville de Nice et son CCAS. Élaborée en interne et en mode projet par une petite équipe, sans aide extérieure ni AMO, la deuxième saison du Spaser azuréen est particulièrement innovante puisque, entre autres, 80 % des 32 indicateurs retenus seront automatisés. Mais ce n’est pas la seule particularité du nouveau schéma, comme nous l’explique Benoît Ferry, responsable du groupe achat public durable au sein de la direction de la commande publique de la métropole Nice Côte d’Azur.

Depuis que la loi Climat et Résilience a descendu leur seuil à 50 M €, c’est tout logiquement que les Spaser se multiplient dans les collectivités. Certaines métropoles,  sont conduites quant à elles à élaborer de nouveaux schémas.   En quoi celui de la métropole Nice Côte d’Azur se singularise-t-il des autres ? Benoît Ferry - Tout d’abord, pour la première fois, not

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