La cotraitance : le pire et le meilleur pour les PME

  • 27/01/2011
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Le Syndicat national du second œuvre (SNSO) considère la cotraitance comme la langue d’Esope : à la fois le pire et le meilleur pour les PME. Renaud Marquié, le délégué général du SNSO, nous explique pourquoi elle engendre autant d’avantages que de difficultés.

Les opposants aux marchés globaux ou mutualisés, parmi lesquels on trouve de nombreux représentants de PME, se voient souvent rétorquer que la cotraitance, voire la sous-traitance sont un moyen efficace pour accéder à ces contrats. « Groupez-vous pour y accéder ! », leur conseille-t-on. Facile à dire, difficile à faire, rétorque Renaud Marquié, le délégué général du Syndicat national du second œuvre. « La cotraitance n’est pas une formule magique. C’est plutôt une variable d’ajustement lorsque

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